Fleurs

Les plantes d’intérieur les plus bénéfiques pour la qualité de l’air

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On le sait aujourd’hui la pollution de l’air constitue un enjeu sociétal majeur. Ainsi la végétalisation d’intérieur figure parmi les solutions éprouvées. Ces plantes se démarquent par leur excellente capacité de purification. Suivez le guide.

Le philodendron, un dépolluant tropical

Le philodendron absorbe le formaldéhyde, le pentachlorophénol, l’ammoniac et le trichloréthylène. Originaire d’Amérique latine, il retombe, grimpe ou forme un buisson qui atteint parfois une largeur supérieure à 2 m. Les larges feuilles de cette plante verte intérieur subliment la décoration. La toxicité du philodendron requiert le port de gants pendant les manipulations. Éviter d’ingérer les feuilles est aussi recommandé.

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Le kentia améliore la qualité de l’air

Le kentia apporte une touche unique, sa hauteur atteint 100 cm. Il rafraîchit la maison. Ses larges feuilles capturent l’humidité de l’air, elles éliminent les composants volatils par la même occasion. Le kentia pousse doucement, mais il est facile à entretenir. Cette plante supporte l’air sec, deux arrosages par semaine contribuent à sa croissance durant l’été.

Le ficus, un dépolluant reconnu

Le ficus est particulièrement efficace en cas de pollution par le méthanal, un gaz suffocant et inflammable engendré par les mousses d’isolation, le papier d’emballage et l’essuie-tout. Ses feuilles violettes renforcent votre décoration intérieure. Le ficus nécessite un soin régulier, elle est très sensible aux variations de température. Éviter les courants d’air et une trop forte humidité augmente sa longévité.

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Les fougères intérieures purifient la maison

Les fougères assurent une dépollution efficace contre le benzène, le formaldéhyde et le trichloréthylène. Asplenium nidus, patte de lapin suspension, phlebodium blue star… La diversité des espèces offre un large choix. Les fougères préfèrent les endroits humides comme la cuisine et la salle de bain. Leur sensibilité à l’air sec requiert une attention spéciale. Mettre le pot dans un récipient plein d’eau protège la plante.

Le dragonnier élimine les polluants

Le dragonnier filtre de nombreux polluants. Il sublime l’espace avec ses feuilles linéaires. Torsadées, tressées ou arquées, les tiges poussent de façon originale après un traitement spécifique. Pourpre foncé ou striées de blanc, les feuilles se déclinent en plusieurs couleurs selon la variété. Bien entretenue, cette plante d’intérieur colorée dépasse rapidement 1m50. Une petite astuce garantit sa droiture, il suffit de tourner légèrement le pot chaque semaine.

Le lierre réduit la pollution intérieure

Le lierre élimine le plastique et le benzène. Grimpant ou retombant, il s’harmonise avec le style de la décoration. La couleur et la forme des feuilles évoluent en fonction des variétés. La présence d’un support facilite la personnalisation. L’entretien suit un calendrier précis. Un terreau humide favorise sa croissance de mars à octobre. En revanche, il faut laisser le terreau sécher entre deux arrosages pendant la saison hivernale. Le rempotage s’effectue tous les deux ans.

Le chlorophytum comosum, un dépolluant robuste

Le chlorophytum absorbe 5 polluants : le monoxyde de carbone, le formalhédyle, le benzène, le trichloréthylène et le xylène. Un endroit clair et un arrosage hebdomadaire suffisent pour le développement de la plante araignée. Sa robustesse séduit les particuliers et les entreprises. Toutefois, il faut la replanter tous les deux ans en augmentant les dimensions du pot.

De nombreuses enseignes proposent les plantes d’intérieur purificateur d’air. La Jardinerie Ferriere Fleurs à L’Arbresle à côté de Lyon possède des années d’expérience et un riche catalogue.

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